Un document juridique récemment dévoilé fait sensation. Des employés de grandes entreprises de réseaux sociaux auraient comparé leur travail à la vente de drogues—se qualifiant littéralement de dealers.
Le dossier révèle des conversations internes où les employés reconnaissaient que leurs plateformes étaient conçues avec des mécanismes addictifs à l’esprit. Pas vraiment le genre de transparence auquel on s’attendrait lors d’une présentation des résultats trimestriels.
Il ne s’agit plus seulement de faire défiler sans fin. Il est question d’une architecture délibérée—de fonctionnalités conçues pour rendre les utilisateurs accros, d’indicateurs optimisés pour l’engagement à tout prix. La comparaison avec les stupéfiants ? Elle vient des personnes qui construisent ces systèmes.
Cela soulève des questions gênantes sur la responsabilité des plateformes et l’autonomie des utilisateurs. Surtout alors que les projets Web3 se présentent comme l’antidote aux économies de l’attention extractives.
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MintMaster
· 11-23 08:54
Aïe, ils se sont fait prendre sur le fait, même les employés admettent être des "trafiquants de drogue", c'est vraiment incroyable.
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MEVHunterWang
· 11-23 08:53
Je l'ai déjà dit combien de fois, ces plateformes sont de véritables fumeries d'opium numérique.
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Même les employés l'ont admis eux-mêmes, qu'y a-t-il encore à nier ?
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Il faut vraiment profiter de cette vague web3, sinon on est fichus.
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Mort de rire, le mécanisme de push, c'est la drogue du XXIe siècle, ça aurait dû être dénoncé depuis longtemps.
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Ça prouve bien que les utilisateurs n'ont aucun pouvoir de choix, tout n'est que pièges conçus à l'avance.
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Les dirigeants récoltent la manne du trafic, et nous, on devient accros, incapables d'arrêter ; il faut briser ce cercle vicieux.
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Même les emails internes sont aussi explicites, pas étonnant qu'ils aient caché ça aussi longtemps.
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Tu vois, l'ère du tout engagement, voilà ce que ça donne, c'est écœurant.
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fren.eth
· 11-23 08:53
Les employés eux-mêmes disent que c'est un trafiquant de drogue, maintenant le récit du web3 a enfin un peu de crédibilité.
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rugpull_ptsd
· 11-23 08:32
NGL, c'est exactement pourquoi j'ai complètement perdu espoir dans les réseaux sociaux traditionnels... Même les employés admettent eux-mêmes qu'ils font le travail d'un dealer.
Un document juridique récemment dévoilé fait sensation. Des employés de grandes entreprises de réseaux sociaux auraient comparé leur travail à la vente de drogues—se qualifiant littéralement de dealers.
Le dossier révèle des conversations internes où les employés reconnaissaient que leurs plateformes étaient conçues avec des mécanismes addictifs à l’esprit. Pas vraiment le genre de transparence auquel on s’attendrait lors d’une présentation des résultats trimestriels.
Il ne s’agit plus seulement de faire défiler sans fin. Il est question d’une architecture délibérée—de fonctionnalités conçues pour rendre les utilisateurs accros, d’indicateurs optimisés pour l’engagement à tout prix. La comparaison avec les stupéfiants ? Elle vient des personnes qui construisent ces systèmes.
Cela soulève des questions gênantes sur la responsabilité des plateformes et l’autonomie des utilisateurs. Surtout alors que les projets Web3 se présentent comme l’antidote aux économies de l’attention extractives.