John Kerry, qui dirigeait auparavant l'équipe climat américaine, vient de faire un constat assez simple. Les deux plus grandes économies mondiales ? Elles doivent continuer à dialoguer. Notamment sur les objectifs environnementaux.
Voici son point de vue : Washington doit être prêt à s'asseoir avec Pékin. Pas de drame, juste des conversations directes. Car voici la réalité : ces objectifs climatiques mondiaux dont tout le monde parle ? Ils ne seront pas atteints sans une collaboration entre ces deux pays. Point final.
Il s'agit moins de politique que de mathématiques. Lorsque les deux principales puissances économiques ne peuvent pas se coordonner, les chiffres ne suivent tout simplement pas pour le reste de la planète. Kerry dit en fait tout haut ce que beaucoup de spécialistes des politiques savent déjà mais n'osent pas dire : la coopération n’est pas une option ici, c’est une nécessité structurelle.
Que ce dialogue ait effectivement lieu ou non ? C’est une autre histoire. Mais la logique est difficile à contester.
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LiquidityHunter
· Il y a 2h
Attends, la logique de Kerry est en effet rigoureuse, les deux grandes économies ne sont pas coordonnées... alors le manque de liquidité sur le marché va-t-il s'élargir ?
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OptionWhisperer
· 11-22 12:07
Ngl, parler des objectifs climatiques entre les États-Unis et la Chine... c'est beau à dire, mais qu'est-ce qu'on peut vraiment en tirer ?
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NFTArchaeologis
· 11-22 12:07
Le discours de Kli est en réalité basé sur une ancienne logique d'équilibre des pouvoirs, simplement revêtue d'une nouvelle peau climatique. Les deux géants économiques doivent absolument être assis ensemble, ce qui n'est pas fondamentalement différent des grands jeux de pouvoir de l'histoire... sauf que cette fois, l'enjeu est la Terre elle-même.
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NotSatoshi
· 11-22 12:05
Pour faire simple, les États-Unis et la Chine doivent s’asseoir et discuter, sinon les objectifs climatiques mondiaux, c’est du pipeau... Même si les propos de Kerry n’ont rien de nouveau, ils touchent vraiment le point sensible.
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ProveMyZK
· 11-22 12:01
C'est beau à entendre, mais est-ce que les États-Unis et la Chine peuvent vraiment s'asseoir et discuter sérieusement ? L'histoire nous dit que c'est très difficile.
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LightningHarvester
· 11-22 11:48
C'est beau à entendre, mais des deux côtés, chacun a ses propres petits intérêts, peut-on vraiment s'asseoir calmement et en parler ? Je pense que c'est douteux.
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SmartContractPhobia
· 11-22 11:47
NGL, Kerry n'a pas tort : les États-Unis et la Chine doivent vraiment s'asseoir à la table des discussions, sinon les objectifs climatiques mondiaux ne seront qu'un vœu pieux.
C'est beau à dire, mais le problème, c'est que les deux camps sont constamment en train de se chamailler...
Attends, cette logique revient en fait à dire qu'aucun des deux ne peut se passer de l'autre, non ?
La coopération n'est pas une option mais une nécessité, cette phrase fait un peu mal à entendre haha
Honnêtement, si la Chine et les États-Unis pouvaient vraiment bien collaborer, les autres pays du monde seraient déjà soulagés depuis longtemps.
John Kerry, qui dirigeait auparavant l'équipe climat américaine, vient de faire un constat assez simple. Les deux plus grandes économies mondiales ? Elles doivent continuer à dialoguer. Notamment sur les objectifs environnementaux.
Voici son point de vue : Washington doit être prêt à s'asseoir avec Pékin. Pas de drame, juste des conversations directes. Car voici la réalité : ces objectifs climatiques mondiaux dont tout le monde parle ? Ils ne seront pas atteints sans une collaboration entre ces deux pays. Point final.
Il s'agit moins de politique que de mathématiques. Lorsque les deux principales puissances économiques ne peuvent pas se coordonner, les chiffres ne suivent tout simplement pas pour le reste de la planète. Kerry dit en fait tout haut ce que beaucoup de spécialistes des politiques savent déjà mais n'osent pas dire : la coopération n’est pas une option ici, c’est une nécessité structurelle.
Que ce dialogue ait effectivement lieu ou non ? C’est une autre histoire. Mais la logique est difficile à contester.