Merde, ça devient vraiment compliqué. Une startup de robotique humanoïde vient d’être poursuivie en justice par son propre lanceur d’alerte, et les accusations sont plutôt folles.
Apparemment, quelqu’un en interne a tiré la sonnette d’alarme concernant le fait que leurs robots pourraient être suffisamment dangereux pour fracturer un crâne humain. Oui, vous avez bien lu : fractures du crâne. Maintenant, l’entreprise riposte en intentant une action en justice contre la personne qui a parlé.
On est clairement dans un scénario David contre Goliath. D’un côté, il y a des préoccupations de sécurité franchement terrifiantes. De l’autre, une startup qui tente de protéger sa réputation dans un secteur brutalement concurrentiel où la confiance des investisseurs est primordiale.
Mais ça pousse quand même à se demander : combien de tests sont vraiment effectués à huis clos avant que ces machines ne soient mises en contact avec des humains ? L’industrie de la robotique avance à toute vitesse, peut-être trop vite pour que les protocoles de sécurité adéquats puissent suivre.
Est-ce que je suis le seul à penser qu’on fonce à toute allure vers un avenir pour lequel on n’est pas vraiment prêt ? Quand le mode d’échec de ton produit inclut « pourrait fracturer le crâne de quelqu’un », il est peut-être temps d’appuyer sur le frein.
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NeverPresent
· Il y a 5h
Putain, cette entreprise est vraiment abusée, elle ose poursuivre en justice le lanceur d’alerte ?
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OfflineValidator
· Il y a 21h
Des révélations sur une plainte, ce piège je l'ai déjà vu des dizaines de fois, dites-moi où se trouvent les risques de sécurité ?
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MoonBoi42
· 11-22 04:15
franchement, c'est typique d'une entreprise technologique de se décharger de ses responsabilités, le lanceur d'alerte poursuivi en retour est vraiment incroyable.
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MetaLord420
· 11-22 04:14
Oh mon dieu, cette entreprise est vraiment sans espoir. Ils osent cacher les problèmes de sécurité, et les investisseurs continuent à rire bêtement.
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degenonymous
· 11-22 04:05
ngl c'est vraiment le piège typique des entreprises technologiques qui oppriment les lanceurs d'alerte, j'en ai vraiment marre.
Merde, ça devient vraiment compliqué. Une startup de robotique humanoïde vient d’être poursuivie en justice par son propre lanceur d’alerte, et les accusations sont plutôt folles.
Apparemment, quelqu’un en interne a tiré la sonnette d’alarme concernant le fait que leurs robots pourraient être suffisamment dangereux pour fracturer un crâne humain. Oui, vous avez bien lu : fractures du crâne. Maintenant, l’entreprise riposte en intentant une action en justice contre la personne qui a parlé.
On est clairement dans un scénario David contre Goliath. D’un côté, il y a des préoccupations de sécurité franchement terrifiantes. De l’autre, une startup qui tente de protéger sa réputation dans un secteur brutalement concurrentiel où la confiance des investisseurs est primordiale.
Mais ça pousse quand même à se demander : combien de tests sont vraiment effectués à huis clos avant que ces machines ne soient mises en contact avec des humains ? L’industrie de la robotique avance à toute vitesse, peut-être trop vite pour que les protocoles de sécurité adéquats puissent suivre.
Est-ce que je suis le seul à penser qu’on fonce à toute allure vers un avenir pour lequel on n’est pas vraiment prêt ? Quand le mode d’échec de ton produit inclut « pourrait fracturer le crâne de quelqu’un », il est peut-être temps d’appuyer sur le frein.