Décision de la Fed en 2026 : la baisse des taux est désormais une tendance consensuelle
Les institutions agissent discrètement. Goldman Sachs et Morgan Stanley anticipent tous deux deux baisses de taux en 2024 (au moins 50 points de base), et Citigroup évoque directement un objectif de réduction de 75 points de base. Ce n’est pas une spéculation médiatique, mais la direction que les plus grandes banques mondiales misent avec de l’argent réel.
Pourquoi cette certitude ? Trois fondamentaux soutiennent cette vision :
Premièrement, l’inflation est maîtrisée. L’indice CPI se rapproche continuellement de l’objectif officiel de 2 %, ce qui affaiblit progressivement l’efficacité des outils de resserrement de la Fed. Deuxièmement, les signaux d’un marché du travail affaibli deviennent de plus en plus évidents, la demande de main-d’œuvre commence à se détendre. Troisièmement — et c’est peut-être le plus crucial —, le mandat de Powell se termine en mai 2026, et le nouveau président penchera probablement pour une politique accommodante, ce qui correspond à une convergence naturelle entre le cycle politique et le cycle économique.
Les données de l’outil d’observation de la Fed du CME sont très parlantes : la probabilité d’une baisse de taux en mars 2026 atteint 47,1 %, dépassant pour la première fois celle d’un maintien des taux. Cela signifie que le marché à terme anticipe déjà une politique monétaire plus accommodante. Les investisseurs avisés ont déjà perçu cette tendance.
Bien sûr, certains voix s’élèvent contre cette tendance. HSBC et Standard Chartered mettent en garde contre un risque de "fausse baisse" de l’inflation, et Macquarie prévoit même une possible hausse des taux d’ici la fin 2026. Mais ces avertissements sont noyés dans la vague des attentes majoritaires.
La logique centrale est en fait très simple : face à une économie qui montre des signes de faiblesse, un contexte politique nécessitant des stimulations, et des données d’inflation conformes, la marge de manœuvre de la Fed est limitée. La règle historique le confirme : lors des années de changement de mandat, lorsque l’économie faiblit, la probabilité de baisse des taux dépasse 80 %.
Pour les acteurs du marché, la question n’est plus de savoir si la baisse des taux arrivera, mais à quelle vitesse et avec quelle intensité. La fenêtre pour positionner des actifs sensibles aux taux d’intérêt s’ouvre.
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LiquidityOracle
· Il y a 15h
Les attentes de baisse des taux sont si fortes, pourquoi le marché des cryptomonnaies est-il encore en fluctuation ? L'argent intelligent est-il déjà parti sur les contrats à terme ?
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PermabullPete
· Il y a 16h
Les attentes de baisse des taux ont déjà été intégralement prises en compte, l'argent intelligent s'est déjà positionné depuis longtemps. La question est de savoir quand nous, les investisseurs particuliers, pourrons enfin en profiter.
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DeepRabbitHole
· Il y a 16h
L'argent intelligent a déjà senti l'odeur, et nous sommes encore là à hésiter ? Foncez directement dedans
Les attentes de baisse des taux sont si fortes que $BTC doit décoller
Ne pas agir maintenant, et il sera trop tard pour pleurer en juin
Les institutions sont déjà en embuscade, et nous regardons encore le spectacle
Honnêtement, plutôt que d'attendre, autant monter à bord maintenant, vraiment
#比特币与黄金战争 $ZEC $SUI $DOGE
Décision de la Fed en 2026 : la baisse des taux est désormais une tendance consensuelle
Les institutions agissent discrètement. Goldman Sachs et Morgan Stanley anticipent tous deux deux baisses de taux en 2024 (au moins 50 points de base), et Citigroup évoque directement un objectif de réduction de 75 points de base. Ce n’est pas une spéculation médiatique, mais la direction que les plus grandes banques mondiales misent avec de l’argent réel.
Pourquoi cette certitude ? Trois fondamentaux soutiennent cette vision :
Premièrement, l’inflation est maîtrisée. L’indice CPI se rapproche continuellement de l’objectif officiel de 2 %, ce qui affaiblit progressivement l’efficacité des outils de resserrement de la Fed. Deuxièmement, les signaux d’un marché du travail affaibli deviennent de plus en plus évidents, la demande de main-d’œuvre commence à se détendre. Troisièmement — et c’est peut-être le plus crucial —, le mandat de Powell se termine en mai 2026, et le nouveau président penchera probablement pour une politique accommodante, ce qui correspond à une convergence naturelle entre le cycle politique et le cycle économique.
Les données de l’outil d’observation de la Fed du CME sont très parlantes : la probabilité d’une baisse de taux en mars 2026 atteint 47,1 %, dépassant pour la première fois celle d’un maintien des taux. Cela signifie que le marché à terme anticipe déjà une politique monétaire plus accommodante. Les investisseurs avisés ont déjà perçu cette tendance.
Bien sûr, certains voix s’élèvent contre cette tendance. HSBC et Standard Chartered mettent en garde contre un risque de "fausse baisse" de l’inflation, et Macquarie prévoit même une possible hausse des taux d’ici la fin 2026. Mais ces avertissements sont noyés dans la vague des attentes majoritaires.
La logique centrale est en fait très simple : face à une économie qui montre des signes de faiblesse, un contexte politique nécessitant des stimulations, et des données d’inflation conformes, la marge de manœuvre de la Fed est limitée. La règle historique le confirme : lors des années de changement de mandat, lorsque l’économie faiblit, la probabilité de baisse des taux dépasse 80 %.
Pour les acteurs du marché, la question n’est plus de savoir si la baisse des taux arrivera, mais à quelle vitesse et avec quelle intensité. La fenêtre pour positionner des actifs sensibles aux taux d’intérêt s’ouvre.