Le gouvernement japonais a récemment lancé une grande initiative : l’émission de nouvelles obligations d’un montant de 29,6 trillions de yens, soit environ 1,3 trillion de RMB, un record historique en termes de volume. En y regardant de plus près, cela équivaut à une dépense quotidienne de près de 10 milliards de RMB.
Le plan du gouvernement est clair — utiliser cet argent pour stimuler l’économie. Après tout, le Japon s’enfonce dans des difficultés depuis plusieurs années : déflation, consommation stagnante, pression du vieillissement de la population. Ils augmentent la création monétaire de manière encore plus agressive, espérant ainsi donner un coup de fouet à toute la société.
Mais le problème, c’est que la dette publique du Japon dépasse déjà 260 % du PIB, ce qui en fait le plus élevé au monde. Continuer à augmenter la dette, c’est comme gonfler un ballon déjà à sa limite, personne ne peut prévoir quand il éclatera.
Cette approche de résolution des problèmes immédiats par la dette, en somme, c’est « emprunter l’argent du futur pour combler le trou d’aujourd’hui ». Les méthodes économiques traditionnelles ressemblent de plus en plus à une course de relais sans fin, dont l’arrivée est lointaine. C’est pourquoi de plus en plus de gens commencent à réfléchir : existe-t-il un écosystème de valeur plus durable, qui ne dépend pas du cycle de la dette ?
Juste à ce moment-là, de nouveaux modèles communautaires et formes d’actifs commencent à émerger, empruntant une autre voie — non pas en se nourrissant continuellement de l’extérieur, mais en maintenant la vitalité de l’écosystème par consensus et créativité interne. Passer du « transfusion passive » au « sang productif actif », cette transition de paradigme pourrait bien être la clé à saisir dans la prochaine décennie.
Que pensez-vous ? Ce stimulus par la dette pourra-t-il finalement débloquer la situation ou creusera-t-il encore plus le trou ? Si vous souhaitez éviter d’être victime d’une dévaluation silencieuse de la dette, sur quels actifs ou supports de valeur devriez-vous désormais concentrer votre attention ? Partagez vos idées dans la section commentaires.
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GasGoblin
· 12-29 03:53
Le Japon a tardé pour cette opération, ils n'ont ouvert que maintenant ? Il aurait dû passer à la chaîne bien plus tôt.
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RetailTherapist
· 12-29 03:50
Les ballons finiront par exploser, le Japon mise actuellement sur la période favorable de la fenêtre politique.
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TopBuyerBottomSeller
· 12-29 03:36
Le Japon joue avec le feu, avec un taux d'endettement de 260 %. Continuer à imprimer comme ça va vraiment faire exploser la situation.
Le gouvernement japonais a récemment lancé une grande initiative : l’émission de nouvelles obligations d’un montant de 29,6 trillions de yens, soit environ 1,3 trillion de RMB, un record historique en termes de volume. En y regardant de plus près, cela équivaut à une dépense quotidienne de près de 10 milliards de RMB.
Le plan du gouvernement est clair — utiliser cet argent pour stimuler l’économie. Après tout, le Japon s’enfonce dans des difficultés depuis plusieurs années : déflation, consommation stagnante, pression du vieillissement de la population. Ils augmentent la création monétaire de manière encore plus agressive, espérant ainsi donner un coup de fouet à toute la société.
Mais le problème, c’est que la dette publique du Japon dépasse déjà 260 % du PIB, ce qui en fait le plus élevé au monde. Continuer à augmenter la dette, c’est comme gonfler un ballon déjà à sa limite, personne ne peut prévoir quand il éclatera.
Cette approche de résolution des problèmes immédiats par la dette, en somme, c’est « emprunter l’argent du futur pour combler le trou d’aujourd’hui ». Les méthodes économiques traditionnelles ressemblent de plus en plus à une course de relais sans fin, dont l’arrivée est lointaine. C’est pourquoi de plus en plus de gens commencent à réfléchir : existe-t-il un écosystème de valeur plus durable, qui ne dépend pas du cycle de la dette ?
Juste à ce moment-là, de nouveaux modèles communautaires et formes d’actifs commencent à émerger, empruntant une autre voie — non pas en se nourrissant continuellement de l’extérieur, mais en maintenant la vitalité de l’écosystème par consensus et créativité interne. Passer du « transfusion passive » au « sang productif actif », cette transition de paradigme pourrait bien être la clé à saisir dans la prochaine décennie.
Que pensez-vous ? Ce stimulus par la dette pourra-t-il finalement débloquer la situation ou creusera-t-il encore plus le trou ? Si vous souhaitez éviter d’être victime d’une dévaluation silencieuse de la dette, sur quels actifs ou supports de valeur devriez-vous désormais concentrer votre attention ? Partagez vos idées dans la section commentaires.