Une artiste visuelle algorithmique du Vermont, James Merrill, a trouvé une solution à la collision entre code et réalité avec une idée folle : il a collaboré avec un robot de dessin personnalisé pour transformer des algorithmes génératifs en œuvres d’art tangibles, à la fois précises et imparfaites. Cela semble contradictoire ? En réalité, pas du tout. Ses œuvres célèbrent justement cette beauté imprévisible des matériaux simulés, tout en explorant comment la technologie peut donner une véritable vie matérielle à la création numérique.
Toute cette histoire se déroule à l’hôtel Saint George de Marfa. Ce week-end-là, Merrill a évoqué lors d’une interview des choses intéressantes : le rôle crucial que jouent les émotions dans son processus créatif, pourquoi l’imperfection devient l’âme de ses œuvres, et comment le lieu de Marfa continue d’inspirer sans cesse les artistes génératifs et renforcer la cohésion de leur communauté.
"Je suis James Merrill, artiste visuel algorithmique. Ma spécialité est d’utiliser des algorithmes génératifs pour piloter ces robots de dessin, permettant au code de créer des œuvres d’art uniques. Cette méthode me permet de créer à la fois dans l’espace numérique et de laisser une trace dans le monde réel."
Lorsqu’on lui demande ce qui lui vient en premier lorsqu’il crée une nouvelle œuvre — le code, l’imagination visuelle, ou une émotion qu’il souhaite exprimer — Merrill répond : c’est la sensation qui est le point de départ. Cette réponse révèle une vérité : même les algorithmes les plus complexes sont pilotés par l’émotion humaine.
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LayerZeroHero
· Il y a 8h
Attendez, algorithme piloté + défauts physiques = âme artistique ? Je dois tester cette logique moi-même pour y croire.
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DisillusiionOracle
· Il y a 8h
Algorithme + robot + art, ça sonne impressionnant mais ce n'est pas simplement un ajustement de paramètres fancy... Cependant, je suis d'accord avec l'idée que la beauté réside dans ses défauts
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NftDeepBreather
· Il y a 8h
Le code a de la chaleur, ce gars l'a compris
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StealthMoon
· Il y a 8h
La robotique pour dessiner doit aussi dépendre du ressenti ? Ce gars-là a une idée plutôt géniale.
Une artiste visuelle algorithmique du Vermont, James Merrill, a trouvé une solution à la collision entre code et réalité avec une idée folle : il a collaboré avec un robot de dessin personnalisé pour transformer des algorithmes génératifs en œuvres d’art tangibles, à la fois précises et imparfaites. Cela semble contradictoire ? En réalité, pas du tout. Ses œuvres célèbrent justement cette beauté imprévisible des matériaux simulés, tout en explorant comment la technologie peut donner une véritable vie matérielle à la création numérique.
Toute cette histoire se déroule à l’hôtel Saint George de Marfa. Ce week-end-là, Merrill a évoqué lors d’une interview des choses intéressantes : le rôle crucial que jouent les émotions dans son processus créatif, pourquoi l’imperfection devient l’âme de ses œuvres, et comment le lieu de Marfa continue d’inspirer sans cesse les artistes génératifs et renforcer la cohésion de leur communauté.
"Je suis James Merrill, artiste visuel algorithmique. Ma spécialité est d’utiliser des algorithmes génératifs pour piloter ces robots de dessin, permettant au code de créer des œuvres d’art uniques. Cette méthode me permet de créer à la fois dans l’espace numérique et de laisser une trace dans le monde réel."
Lorsqu’on lui demande ce qui lui vient en premier lorsqu’il crée une nouvelle œuvre — le code, l’imagination visuelle, ou une émotion qu’il souhaite exprimer — Merrill répond : c’est la sensation qui est le point de départ. Cette réponse révèle une vérité : même les algorithmes les plus complexes sont pilotés par l’émotion humaine.