Le Royaume-Uni n’a pas fait les choses à moitié cette fois-ci : la nouvelle loi sur les actifs numériques classe directement les cryptomonnaies dans la catégorie des « biens personnels ». Ça ressemble à une simple mise à jour réglementaire ? En réalité, la portée est bien plus large.
Quand un empire financier historique choisit de soutenir les actifs numériques, le message envoyé est clair : ce n’est plus un produit spéculatif d’une zone grise, mais un « actif sérieux » qui mérite une protection de la propriété. Les risques juridiques qui inquiétaient le plus les institutions sont désormais en grande partie écartés.
En parlant de « sérieux », il faut savoir que les gouvernements détiennent déjà pas mal de cryptos. Les avoirs officiels mondiaux en Bitcoin approchent les 600 000 unités. Les États-Unis en stockent environ 326 000, le second plus gros détenteur tournerait autour de 190 000. Ce qui est intéressant, c’est que ces gros porteurs n’affichent jamais publiquement leurs positions, mais ils ne se privent pas quand il s’agit d’acheter.
Les petits pays comme le Salvador sont encore plus directs : ils minent et achètent du Bitcoin, histoire de se ménager une porte de sortie hors du système monétaire traditionnel. Le Bhoutan fait la même chose en toute discrétion. Si tu y réfléchis, c’est un peu comme réserver sa place à l’avance.
Aujourd’hui, les États accumulent le Bitcoin comme réserve stratégique, ce qui réduit d’autant le nombre de jetons disponibles sur le marché. Pour les particuliers, les fluctuations de prix à court terme deviennent des opportunités : il vaut mieux être du côté des gros joueurs que de courir après les hausses et se retrouver piégé.
La stratégie DCA (investissement programmé), qui peut sembler laborieuse, s’avère particulièrement efficace dans ce contexte. Les corrections ne sont pas des risques, mais des occasions d’entrer. Évidemment, il faut d’abord savoir si l’on est là pour spéculer ou pour diversifier ses placements.
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SigmaValidator
· 12-12 11:46
Cette opération au Royaume-Uni envoie effectivement un signal fort, le gouvernement commence à assurer la protection, les grandes institutions vont-elles encore hésiter ?
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DYORMaster
· 12-11 12:35
Le Royaume-Uni a vraiment rassuré les institutions cette fois-ci, un bouclier juridique dressé, les gros investisseurs doivent passer à l'action.
L'affaire de la détention de crypto par le gouvernement était évidente depuis longtemps, nous devons suivre le rythme.
Investir régulièrement, ne pas chercher à bottom, prendre son temps c'est plus rapide.
Les jetons deviennent de plus en plus rares, c'est toute l'histoire.
En résumé, c'est une grande machine qui attire la capitulation, il faut rester vigilant.
L'opération au Bhoutan et au Salvador est vraiment agressive, l'ambiance stratégique est très présente.
Une correction à court terme et on y va à fond, à long terme, c'est encore plus clair.
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HashRatePhilosopher
· 12-09 20:41
Ce coup du Royaume-Uni est vraiment brillant : la reconnaissance juridique est la clé d’accès aux institutions, il y aura de moins en moins de jetons disponibles.
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WalletWhisperer
· 12-09 20:35
La phase d'accumulation vient tout juste de recevoir la bénédiction institutionnelle... surveillez les schémas de regroupement de portefeuilles le trimestre prochain.
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Rugman_Walking
· 12-09 20:35
Avec cette vague de reconnaissance juridique au Royaume-Uni, les institutions peuvent enfin dormir sur leurs deux oreilles.
Les jetons deviennent de plus en plus rares, c'est ça le plus impressionnant.
Les gouvernements accumulent déjà, et nous, on hésite encore à acheter au plus haut ?
Le Royaume-Uni n’a pas fait les choses à moitié cette fois-ci : la nouvelle loi sur les actifs numériques classe directement les cryptomonnaies dans la catégorie des « biens personnels ». Ça ressemble à une simple mise à jour réglementaire ? En réalité, la portée est bien plus large.
Quand un empire financier historique choisit de soutenir les actifs numériques, le message envoyé est clair : ce n’est plus un produit spéculatif d’une zone grise, mais un « actif sérieux » qui mérite une protection de la propriété. Les risques juridiques qui inquiétaient le plus les institutions sont désormais en grande partie écartés.
En parlant de « sérieux », il faut savoir que les gouvernements détiennent déjà pas mal de cryptos. Les avoirs officiels mondiaux en Bitcoin approchent les 600 000 unités. Les États-Unis en stockent environ 326 000, le second plus gros détenteur tournerait autour de 190 000. Ce qui est intéressant, c’est que ces gros porteurs n’affichent jamais publiquement leurs positions, mais ils ne se privent pas quand il s’agit d’acheter.
Les petits pays comme le Salvador sont encore plus directs : ils minent et achètent du Bitcoin, histoire de se ménager une porte de sortie hors du système monétaire traditionnel. Le Bhoutan fait la même chose en toute discrétion. Si tu y réfléchis, c’est un peu comme réserver sa place à l’avance.
Aujourd’hui, les États accumulent le Bitcoin comme réserve stratégique, ce qui réduit d’autant le nombre de jetons disponibles sur le marché. Pour les particuliers, les fluctuations de prix à court terme deviennent des opportunités : il vaut mieux être du côté des gros joueurs que de courir après les hausses et se retrouver piégé.
La stratégie DCA (investissement programmé), qui peut sembler laborieuse, s’avère particulièrement efficace dans ce contexte. Les corrections ne sont pas des risques, mais des occasions d’entrer. Évidemment, il faut d’abord savoir si l’on est là pour spéculer ou pour diversifier ses placements.