Quelqu’un a demandé la véritable histoire derrière ce rachat de Twitter.
Voici ce qui s’est passé : « Écoutez, je n’ai pas racheté Twitter en pensant découvrir un filon. Loin de là. Je savais qu’au moment de signer, une tempête de critiques allait me tomber dessus—je parle de milliers de flèches tirées de toutes parts.
Mais voilà. J’avais l’impression que nous étions au bord d’un précipice civilisationnel. À moins que quelqu’un n’intervienne... »
Ce rachat n’avait rien à voir avec les marges bénéficiaires ou les rendements pour les actionnaires. C’était pour quelque chose de plus grand. Quand on voit la circulation de l’information se déformer jusqu’à devenir méconnaissable, parfois il faut agir—même si cela a un coût.
La plateforme devenue X ? Ce n’était pas un coup financier. C’était un pari sur la survie du débat libre pour la prochaine décennie.
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SatoshiSherpa
· 12-07 20:55
Cela sonne très noble, mais j'ai entendu ce discours trop de fois.
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SatoshiHeir
· 12-07 20:50
Il convient de noter que ce discours présente un paradoxe évident sur le plan technique : il prétend défendre la "liberté de circulation de l'information" tout en détenant un pouvoir absolu sur la boîte noire algorithmique. Conformément à l'esprit du livre blanc, la véritable liberté d'expression devrait reposer sur un consensus décentralisé, et non sur la bonne volonté d'un nœud unique. Il est donc évident qu'il s'agit d'un récit du pouvoir enjolivé.
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ZKSherlock
· 12-07 20:49
En réalité... l’argument de la "libre expression" ici passe commodément sous silence la surcharge computationnelle liée à la modération à grande échelle. Le flux d’informations n’est pas une primitive cryptographique que l’on peut simplement "corriger" avec de meilleures intentions. Quelles hypothèses de confiance fait-on réellement sur ceux qui décident de ce qui est déformé ou authentique ?
Honnêtement, cela ressemble davantage à de la conception narrative qu’à une analyse. Où est le mécanisme concret ?
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MEVHunterX
· 12-07 20:49
Cela sonne très bien en théorie, mais il faudra voir les actions à venir pour juger de la véracité.
Quelqu’un a demandé la véritable histoire derrière ce rachat de Twitter.
Voici ce qui s’est passé : « Écoutez, je n’ai pas racheté Twitter en pensant découvrir un filon. Loin de là. Je savais qu’au moment de signer, une tempête de critiques allait me tomber dessus—je parle de milliers de flèches tirées de toutes parts.
Mais voilà. J’avais l’impression que nous étions au bord d’un précipice civilisationnel. À moins que quelqu’un n’intervienne... »
Ce rachat n’avait rien à voir avec les marges bénéficiaires ou les rendements pour les actionnaires. C’était pour quelque chose de plus grand. Quand on voit la circulation de l’information se déformer jusqu’à devenir méconnaissable, parfois il faut agir—même si cela a un coût.
La plateforme devenue X ? Ce n’était pas un coup financier. C’était un pari sur la survie du débat libre pour la prochaine décennie.