Donc, l'ancien président s'intéresse au système de retraite australien — vous savez, ce dispositif d’épargne-retraite obligatoire qu’ils utilisent depuis des décennies. Ça pousse à se demander : est-ce qu’un tel système pourrait fonctionner aux États-Unis ? Les marchés et les politiques sont différents. En Australie, les employeurs sont obligés de verser un pourcentage pour chaque salarié, constituant un pécule retraite, que les gens y pensent ou non. Mais ici ? Avec la façon dont les Américains perçoivent les obligations gouvernementales et la liberté individuelle ? C’est une toute autre histoire. J’aimerais vraiment avoir des avis sur la pertinence de transposer ce modèle, compte tenu des différences culturelles et réglementaires.
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DaoGovernanceOfficer
· 12-09 10:39
Honnêtement, d'un point de vue empirique, les régimes de retraite obligatoires ne sont que de la mise en scène de gouvernance sans un véritable alignement des incitations. Les données sur la superannuation australienne montrent que ça fonctionne parce qu'il y a une adhésion culturelle—l'Amérique, c'est un tout autre animal. Tu ne peux pas forker un protocole sans comprendre d'abord les incitations des parties prenantes, pour être honnête.
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GateUser-40edb63b
· 12-08 12:00
Épargne forcée ? Aux États-Unis ? Tu rêves, mon pote.
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CompoundPersonality
· 12-06 13:31
Ce système de retraite obligatoire en Australie, si on l’appliquait aux États-Unis ? Euh… Les Américains exploseraient rien qu’en entendant le mot « obligatoire ».
Donc, l'ancien président s'intéresse au système de retraite australien — vous savez, ce dispositif d’épargne-retraite obligatoire qu’ils utilisent depuis des décennies. Ça pousse à se demander : est-ce qu’un tel système pourrait fonctionner aux États-Unis ? Les marchés et les politiques sont différents. En Australie, les employeurs sont obligés de verser un pourcentage pour chaque salarié, constituant un pécule retraite, que les gens y pensent ou non. Mais ici ? Avec la façon dont les Américains perçoivent les obligations gouvernementales et la liberté individuelle ? C’est une toute autre histoire. J’aimerais vraiment avoir des avis sur la pertinence de transposer ce modèle, compte tenu des différences culturelles et réglementaires.