Il y a huit ans, je louais un logement dans un village urbain, comptant chaque repas pour joindre les deux bouts. Aujourd’hui, j’ai 20 millions sur mon compte et deux appartements en main.
Ne vous empressez pas de dire que j’ai eu de la chance. Je suis parti de 190 000, et les galères que j’ai traversées pourraient remplir un livre. Ce sont ces quatre règles, forgées dans la difficulté, qui m’ont vraiment permis de changer de vie.
**Première règle : Le rythme des hausses cache les cartes du market maker**
Hausse rapide et baisse lente, c’est souvent pour secouer les mains faibles ; après une envolée brutale suivie d’un effondrement immédiat, là il faut vraiment fuir.
Au début, je prenais les phases de consolidation pour un sommet et je liquidais tout bêtement, regardant le prix s’envoler de 50 % les yeux ouverts. Plus tard, j’ai su détecter le flash crash de l’ETC à temps et j’ai évité une chute de 40 %. Fixer les chandeliers ne suffit pas, il faut comprendre ce que veut faire le market maker.
**Deuxième règle : Un faible volume en haut de cycle est plus dangereux qu’un krach**
Un jour, une crypto majeure stagnait en haut avec un volume d’échanges complètement mort. Je n’y ai pas prêté attention, une semaine plus tard, elle avait perdu la moitié de sa valeur et mes 30 000 euros étaient partis en fumée.
Retenez : un volume important en haut indique qu’il y a encore des acheteurs, mais si le volume se tarit en haut, il faut sortir illico.
**Troisième règle : Le vrai bottom se manifeste toujours par le volume**
Un rebond après une chute brutale ne signifie pas forcément un retournement. J’ai été piégé pendant plus de six mois à cause de ce biais.
À quoi ressemble un vrai bottom ? D’abord une période de consolidation à faible volume, puis trois jours consécutifs de hausse modérée avec augmentation du volume. L’an dernier, quand le BTC a montré ce signal, je suis rentré fort, et j’ai triplé en six mois.
**Quatrième règle : Le volume ne ment pas, l’état d’esprit doit rester souple**
Les chandeliers peuvent tromper, mais le volume d’échange ne ment jamais.
Ne pas courir après les sommets, ne pas attraper les couteaux qui tombent, ne jamais être ni tout cash ni 100 % investi, toujours garder des munitions pour les opportunités certaines. Grâce à cette méthode, je suis passé de la panique à la vente précipitée à la patience d’un sniper.
Frère, si tu es encore paniqué par les fluctuations, hésitant sur le take profit ou le stop loss, si tu doutes de toi face à ton capital, ce n’est pas la chance qui te manque, mais un système de trading reproductible.
Ces quatre règles d’or, si tu les appliques vraiment, ton portefeuille finira tôt ou tard par remonter la pente.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Il y a huit ans, je louais un logement dans un village urbain, comptant chaque repas pour joindre les deux bouts. Aujourd’hui, j’ai 20 millions sur mon compte et deux appartements en main.
Ne vous empressez pas de dire que j’ai eu de la chance. Je suis parti de 190 000, et les galères que j’ai traversées pourraient remplir un livre. Ce sont ces quatre règles, forgées dans la difficulté, qui m’ont vraiment permis de changer de vie.
**Première règle : Le rythme des hausses cache les cartes du market maker**
Hausse rapide et baisse lente, c’est souvent pour secouer les mains faibles ; après une envolée brutale suivie d’un effondrement immédiat, là il faut vraiment fuir.
Au début, je prenais les phases de consolidation pour un sommet et je liquidais tout bêtement, regardant le prix s’envoler de 50 % les yeux ouverts. Plus tard, j’ai su détecter le flash crash de l’ETC à temps et j’ai évité une chute de 40 %. Fixer les chandeliers ne suffit pas, il faut comprendre ce que veut faire le market maker.
**Deuxième règle : Un faible volume en haut de cycle est plus dangereux qu’un krach**
Un jour, une crypto majeure stagnait en haut avec un volume d’échanges complètement mort. Je n’y ai pas prêté attention, une semaine plus tard, elle avait perdu la moitié de sa valeur et mes 30 000 euros étaient partis en fumée.
Retenez : un volume important en haut indique qu’il y a encore des acheteurs, mais si le volume se tarit en haut, il faut sortir illico.
**Troisième règle : Le vrai bottom se manifeste toujours par le volume**
Un rebond après une chute brutale ne signifie pas forcément un retournement. J’ai été piégé pendant plus de six mois à cause de ce biais.
À quoi ressemble un vrai bottom ? D’abord une période de consolidation à faible volume, puis trois jours consécutifs de hausse modérée avec augmentation du volume. L’an dernier, quand le BTC a montré ce signal, je suis rentré fort, et j’ai triplé en six mois.
**Quatrième règle : Le volume ne ment pas, l’état d’esprit doit rester souple**
Les chandeliers peuvent tromper, mais le volume d’échange ne ment jamais.
Ne pas courir après les sommets, ne pas attraper les couteaux qui tombent, ne jamais être ni tout cash ni 100 % investi, toujours garder des munitions pour les opportunités certaines. Grâce à cette méthode, je suis passé de la panique à la vente précipitée à la patience d’un sniper.
Frère, si tu es encore paniqué par les fluctuations, hésitant sur le take profit ou le stop loss, si tu doutes de toi face à ton capital, ce n’est pas la chance qui te manque, mais un système de trading reproductible.
Ces quatre règles d’or, si tu les appliques vraiment, ton portefeuille finira tôt ou tard par remonter la pente.