Le volume des transactions de Bitcoin est devenu si faible qu’on en a le souffle coupé, le marché est d’un calme effrayant. Dans ces moments-là, les vieux routiers le savent bien : ça va soit s’effondrer, soit exploser à la hausse, il n’y a pas d’alternative.

Pendant que les petits porteurs hésitent entre couper leurs pertes ou tenter d’attraper le creux, les capitaux institutionnels procèdent déjà à des ajustements de portefeuille. Cette fois, ils ne s’intéressent ni au Bitcoin ni à l’Ethereum, mais tournent leur regard vers une niche méconnue : les guildes de jeux. En particulier YGG (Yield Guild Games) : les données on-chain et le développement de l’écosystème envoient un signal clair — en période de volatilité, seuls les projets avec des revenus réels et une croissance d’utilisateurs représentent de véritables refuges.

**Pourquoi parier sur YGG ?**

Commençons par le modèle de revenus. Même en bear market, l’enthousiasme des joueurs “play-to-earn” reste intact. La logique de YGG est simple : investir dans les meilleurs jeux Web3 et partager les gains générés dans le jeu. Tant que les joueurs sont en ligne à accumuler des tokens, le flux de trésorerie reste constant. Ce modèle “gagner de l’argent même en bear market” paraît particulièrement attrayant en ce moment.

Jetons aussi un œil à l’écosystème. La plateforme YGGPlay n’est plus simplement une liste de jeux, c’est devenu un centre de missions et un agrégateur de revenus. Les joueurs peuvent y trouver les jeux de l’écosystème YGG qui les intéressent, accomplir des missions, accumuler des points et obtenir des récompenses réelles. Ce mécanisme lie directement la fidélisation des utilisateurs aux revenus du projet.

Quand le marché global est en stagnation avec peu de volumes, les projets avec de vrais utilisateurs, du cash flow et un écosystème solide peuvent souvent connaître leur propre dynamique. Le modèle YGG est peut-être en train de préparer la prochaine grande narrative.