L'administration indienne résiste aux critiques concernant son mandat de sécurité mobile controversé. La politique ? Une installation préalable obligatoire d'une application de cybersécurité soutenue par le gouvernement sur tous les smartphones.
Les défenseurs de la vie privée n'y croient pas. Les préoccupations concernant la surveillance potentielle et la collecte de données se sont intensifiées depuis l'annonce. La réponse du gouvernement est simple : les utilisateurs conservent un contrôle total. Ils peuvent désinstaller l'application quand ils le souhaitent.
Mais voici le problème : l'installation obligatoire avec suppression optionnelle suscite toujours des interrogations. C'est un schéma familier dans les débats de politique technologique. Les gouvernements du monde entier sont aux prises avec la même tension : sécurité nationale contre vie privée individuelle. Où est la limite ?
Pour ceux qui suivent les tendances réglementaires dans les actifs numériques et la technologie décentralisée, ce mouvement a son importance. C'est un autre exemple de la manière dont les autorités affirment leur contrôle sur l'infrastructure numérique. La communauté crypto connaît bien cette danse. La vie privée n'est pas juste une fonctionnalité, c'est un principe fondamental.
La véritable question n'est pas de savoir si les utilisateurs peuvent supprimer l'application. C'est pourquoi elle doit être là en premier lieu. Et quelles données sont collectées avant qu'une personne ne décide de cliquer sur désinstaller.
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AirdropChaser
· Il y a 3h
Ça recommence, forcer à installer l'appli puis dire que tu peux la supprimer... Qui n'a pas déjà vu ce genre de manège, c'est trop drôle.
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ShortingEnthusiast
· Il y a 3h
Encore ce vieux tour... Installation forcée puis ils disent qu’on peut désinstaller ? Installe d’abord et on verra après, les données ont déjà été uploadées.
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AirdropSweaterFan
· Il y a 4h
Est-ce qu'on peut vraiment supprimer une installation forcée ? Nous avons déjà vu ce genre de manigance dans l'univers de la cryptomonnaie, c'est toujours entrer dans une position d'abord.
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TokenRationEater
· Il y a 4h
Encore un tour de "vous pouvez supprimer"... Les données ont été perdues depuis longtemps, d'accord ?
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HappyToBeDumped
· Il y a 4h
Encore ce piège, installation forcée puis "peut être désinstallé"... mort de rire, les discours du gouvernement sont toujours aussi sincères. Cette opération en Inde est vraiment un peu dure, les gens de Web3 ont déjà été tellement dérangés, la régulation n'en finit jamais.
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CrossChainMessenger
· Il y a 4h
Encore cette piège... Installer d'abord puis supprimer ? Je meurt de rire, quelle différence avec le fait de devoir regarder une publicité ? Les données ont déjà été téléchargées.
L'administration indienne résiste aux critiques concernant son mandat de sécurité mobile controversé. La politique ? Une installation préalable obligatoire d'une application de cybersécurité soutenue par le gouvernement sur tous les smartphones.
Les défenseurs de la vie privée n'y croient pas. Les préoccupations concernant la surveillance potentielle et la collecte de données se sont intensifiées depuis l'annonce. La réponse du gouvernement est simple : les utilisateurs conservent un contrôle total. Ils peuvent désinstaller l'application quand ils le souhaitent.
Mais voici le problème : l'installation obligatoire avec suppression optionnelle suscite toujours des interrogations. C'est un schéma familier dans les débats de politique technologique. Les gouvernements du monde entier sont aux prises avec la même tension : sécurité nationale contre vie privée individuelle. Où est la limite ?
Pour ceux qui suivent les tendances réglementaires dans les actifs numériques et la technologie décentralisée, ce mouvement a son importance. C'est un autre exemple de la manière dont les autorités affirment leur contrôle sur l'infrastructure numérique. La communauté crypto connaît bien cette danse. La vie privée n'est pas juste une fonctionnalité, c'est un principe fondamental.
La véritable question n'est pas de savoir si les utilisateurs peuvent supprimer l'application. C'est pourquoi elle doit être là en premier lieu. Et quelles données sont collectées avant qu'une personne ne décide de cliquer sur désinstaller.