La dette nationale des États-Unis vient d'atteindre 36,2 trillions de dollars—un chiffre si énorme qu'il casse littéralement notre cerveau. Mais voici le rebondissement : les pays étrangers ne possèdent en réalité pas la majorité.
Les chiffres qui comptent
Tout le monde s'inquiète de la Chine et du Japon qui accumulent des obligations du Trésor américain, n'est-ce pas ? La réalité est beaucoup moins dramatique. En avril 2025 :
Le Japon est en tête avec 1,13 trillion de $ (vieille nouvelle, ils ont maintenu une stabilité)
Le Royaume-Uni est passé à la #2 avec 807,7 milliards de dollars (La Chine a discrètement vendu ses avoirs)
La Chine se situe à 757,2 milliards de dollars—et elle a vendu, pas acheté
Le reste du top 20 ? La Belgique, le Luxembourg, le Canada… ils détiennent tous des montants modestes. Aucun pays n'a un contrôle total.
La vraie répartition : Qui possède l'Amérique ?
Voici ce qui compte vraiment :
Les Américains détiennent 55% de leur propre dette
Donc, lorsque les politiciens avertissent au sujet de la “leverage” étrangère sur l'économie, ils paniquent essentiellement à propos d'un quart de la tarte tout en ignorant que les Américains contrôlent la majorité.
Impact sur votre portefeuille ?
Réponse la plus courte : à peine.
Quand les acheteurs étrangers se retirent, les rendements des bons du Trésor américain pourraient légèrement augmenter, ce qui pourrait affecter marginalement vos taux hypothécaires ou d'épargne. Mais ce n'est pas comme si Pékin pouvait prendre le dollar en otage—le marché est trop profond et liquide. De plus, la Chine a lentement réduit sa détention de la dette américaine depuis des années sans provoquer de chaos.
La conclusion
La situation de la dette américaine suscite de légitimes préoccupations, mais “l'appropriation étrangère” n'en fait pas partie. La vraie question devrait être : pourquoi les Américains détiennent-ils la majorité de la dette, et que se passe-t-il si ce ratio change ?
C'est la conversation qui vaut la peine d'être tenue.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Qui possède vraiment la dette de l'Amérique ? La vérité pourrait vous surprendre.
La dette nationale des États-Unis vient d'atteindre 36,2 trillions de dollars—un chiffre si énorme qu'il casse littéralement notre cerveau. Mais voici le rebondissement : les pays étrangers ne possèdent en réalité pas la majorité.
Les chiffres qui comptent
Tout le monde s'inquiète de la Chine et du Japon qui accumulent des obligations du Trésor américain, n'est-ce pas ? La réalité est beaucoup moins dramatique. En avril 2025 :
Le reste du top 20 ? La Belgique, le Luxembourg, le Canada… ils détiennent tous des montants modestes. Aucun pays n'a un contrôle total.
La vraie répartition : Qui possède l'Amérique ?
Voici ce qui compte vraiment :
Donc, lorsque les politiciens avertissent au sujet de la “leverage” étrangère sur l'économie, ils paniquent essentiellement à propos d'un quart de la tarte tout en ignorant que les Américains contrôlent la majorité.
Impact sur votre portefeuille ?
Réponse la plus courte : à peine.
Quand les acheteurs étrangers se retirent, les rendements des bons du Trésor américain pourraient légèrement augmenter, ce qui pourrait affecter marginalement vos taux hypothécaires ou d'épargne. Mais ce n'est pas comme si Pékin pouvait prendre le dollar en otage—le marché est trop profond et liquide. De plus, la Chine a lentement réduit sa détention de la dette américaine depuis des années sans provoquer de chaos.
La conclusion
La situation de la dette américaine suscite de légitimes préoccupations, mais “l'appropriation étrangère” n'en fait pas partie. La vraie question devrait être : pourquoi les Américains détiennent-ils la majorité de la dette, et que se passe-t-il si ce ratio change ?
C'est la conversation qui vaut la peine d'être tenue.