Nvidia contrôle près de 90 % du marché des puces AI avec une capitalisation boursière de 4,4 billions de dollars—cela semble imparable, n'est-ce pas ? Mais des fissures se forment plus vite que vous ne le pensez.
Le défi à deux fronts
Qualcomm vient de jeter le gant avec ses puces AI200 et AI250, qui seront lancées en 2026-2027. Voici le hic : ils ne cherchent pas à surclasser les GPU Blackwell de Nvidia. Au lieu de cela, ils visent l'efficacité et le coût.
Les chiffres qui comptent :
L'AI200 de Qualcomm utilise 35% moins d'énergie que les puces Nvidia comparables
Les dépenses en infrastructure d'IA devraient atteindre 2,8 trillions de dollars d'ici 2029
Les puces Qualcomm visent le marché de l'inférence pratique, et pas seulement la puissance d'entraînement brute
Pendant ce temps, l'Ironwood TPU d'Alphabet joue un jeu différent - optimisé pour l'entraînement, égalant les performances de Blackwell avec la même consommation d'énergie. Des rapports suggèrent que Meta est déjà en pourparlers pour acheter des milliards de ces TPUs.
Pourquoi cela a vraiment de l'importance
Nvidia n'est pas devenu un géant par accident. Son écosystème CUDA et son avantage en ingénierie ont créé un fossé qui est vraiment difficile à franchir. Mais voici le problème : il y a trop d'argent en jeu pour que la domination dure éternellement.
AMD ( détient déjà 3-5 % de part de marché) vient de signer un contrat avec OpenAI. Qualcomm cible les centres de données soucieux des coûts. Alphabet rivalise sur l'efficacité à grande échelle.
La véritable pression ne porte pas sur la performance brute—elle porte sur le TCO (coût total de possession). Lorsque vous construisez une infrastructure IA massive, une réduction de 35 % de la consommation d'énergie n'est pas négligeable. C'est transformateur.
Le Verdict ?
Aucun concurrent unique ne fera sombrer le navire de Nvidia demain. Mais collectivement ? La fenêtre de domination du marché de 85 à 90 % se ferme plus vite que ce que Wall Street attendait. Le jeu n'est pas terminé, il ne fait que commencer.
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La guerre des puces AI s'intensifie : La domination de Nvidia est-elle vraiment inébranlable ?
Nvidia contrôle près de 90 % du marché des puces AI avec une capitalisation boursière de 4,4 billions de dollars—cela semble imparable, n'est-ce pas ? Mais des fissures se forment plus vite que vous ne le pensez.
Le défi à deux fronts
Qualcomm vient de jeter le gant avec ses puces AI200 et AI250, qui seront lancées en 2026-2027. Voici le hic : ils ne cherchent pas à surclasser les GPU Blackwell de Nvidia. Au lieu de cela, ils visent l'efficacité et le coût.
Les chiffres qui comptent :
Pendant ce temps, l'Ironwood TPU d'Alphabet joue un jeu différent - optimisé pour l'entraînement, égalant les performances de Blackwell avec la même consommation d'énergie. Des rapports suggèrent que Meta est déjà en pourparlers pour acheter des milliards de ces TPUs.
Pourquoi cela a vraiment de l'importance
Nvidia n'est pas devenu un géant par accident. Son écosystème CUDA et son avantage en ingénierie ont créé un fossé qui est vraiment difficile à franchir. Mais voici le problème : il y a trop d'argent en jeu pour que la domination dure éternellement.
AMD ( détient déjà 3-5 % de part de marché) vient de signer un contrat avec OpenAI. Qualcomm cible les centres de données soucieux des coûts. Alphabet rivalise sur l'efficacité à grande échelle.
La véritable pression ne porte pas sur la performance brute—elle porte sur le TCO (coût total de possession). Lorsque vous construisez une infrastructure IA massive, une réduction de 35 % de la consommation d'énergie n'est pas négligeable. C'est transformateur.
Le Verdict ?
Aucun concurrent unique ne fera sombrer le navire de Nvidia demain. Mais collectivement ? La fenêtre de domination du marché de 85 à 90 % se ferme plus vite que ce que Wall Street attendait. Le jeu n'est pas terminé, il ne fait que commencer.