L'UE pousse à travers une réglementation controversée—ils l'appellent une initiative contre l'exploitation en ligne. Le rebondissement ? Les plateformes de messagerie peuvent "choisir" si elles scannent les données des utilisateurs. Ça sonne familier, n'est-ce pas ? Parce que c'est littéralement comme ça que ça fonctionne maintenant.
Alors, quelle est la véritable urgence ici ? Si la loi ne change pas la configuration volontaire actuelle, pourquoi accélérer la législation ? Les critiques disent que cela prépare le terrain pour des portes dérobées obligatoires à l'avenir. Les défenseurs de la vie privée et de l'encryption haussent les sourcils - fortement.
Pour une industrie construite sur des systèmes sans confiance et des communications cryptées, cela ressemble à une dérive réglementaire déguisée en protection. Il vaut la peine de suivre comment cela se déroule.
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TopBuyerBottomSeller
· Il y a 9h
Encore ce piège de "choix volontaire"... En d'autres termes, c'est juste un moyen de préparer le terrain pour un scan obligatoire.
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RugPullAlarm
· 11-30 05:56
Encore cette piége ? "Choix volontaire" n'est que le prélude à un scan obligatoire, les données off-chain peuvent être vérifiées, j'ai déjà vu ce genre de manigances de régulation. L'UE est en train de créer une opinion publique pour contourner le chiffrement des communications, et à ce moment-là, les vrais pigeons n'auront nulle part où se cacher.
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CryptoComedian
· 11-30 05:56
En riant, on finit par pleurer. Cette opération de l'UE consiste simplement à renommer "scannage volontaire". La prochaine étape, ce sera directement un accès forcé par une porte dérobée.
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MeaninglessGwei
· 11-30 05:56
ngl, la façon dont l'UE parle de "choix volontaire" est vraiment hilarante, c'est en réalité une préparation pour un piège obligatoire.
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LiquidityNinja
· 11-30 05:50
franchement, c'est la vieille méthode de l'UE, sous le prétexte de protection, ils construisent discrètement des portes dérobées, c'est vraiment difficile de ne pas être sarcastique.
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DeFiCaffeinator
· 11-30 05:35
franchement, c'est le même vieux tour... parler de choix volontaire, en fait, c'est juste préparer le terrain.
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LiquidityLarry
· 11-30 05:30
ngl c'est le classique "volontaire" eyewash... en surface, cela parle de choix, en réalité, cela pave le chemin pour installer une porte dérobée.
L'UE pousse à travers une réglementation controversée—ils l'appellent une initiative contre l'exploitation en ligne. Le rebondissement ? Les plateformes de messagerie peuvent "choisir" si elles scannent les données des utilisateurs. Ça sonne familier, n'est-ce pas ? Parce que c'est littéralement comme ça que ça fonctionne maintenant.
Alors, quelle est la véritable urgence ici ? Si la loi ne change pas la configuration volontaire actuelle, pourquoi accélérer la législation ? Les critiques disent que cela prépare le terrain pour des portes dérobées obligatoires à l'avenir. Les défenseurs de la vie privée et de l'encryption haussent les sourcils - fortement.
Pour une industrie construite sur des systèmes sans confiance et des communications cryptées, cela ressemble à une dérive réglementaire déguisée en protection. Il vaut la peine de suivre comment cela se déroule.