Juste un jour avant que le Honduras ne se rende aux urnes pour choisir son prochain leader, la conversation a pris un tournant inattendu. Au lieu de débattre des politiques locales ou des plans économiques, les gens ont soudainement commencé à parler de Trump et de son pardon controversé d'un ancien président hondurien. Le timing ? Ne pouvait pas être plus dramatique. Ce mouvement a suscité une tempête, éclipsant ce qui aurait dû être le dernier élan de la saison électorale. Les habitants sont maintenant divisés : certains y voient une ingérence étrangère, d'autres un jeu stratégique aux implications plus profondes.