Le chancelier allemand Friedrich Merz vient de jeter un froid sur le calendrier du plan de paix de Trump. Il est ouvertement sceptique quant à la possibilité que l'Ukraine approuve cette proposition en 28 points avant la date limite de jeudi. Merz a clairement fait savoir : tout accord doit d'abord obtenir le feu vert complet de Kyiv. Avec les marchés mondiaux qui surveillent chaque tournant géopolitique, ce type de friction diplomatique pourrait maintenir les actifs à risque sur le qui-vive. Jeudi semble être un moment décisif.