L'Australie vient d'élargir ses restrictions sur les réseaux sociaux pour les adolescents, et Twitch a été pris dans le filet. Le géant du streaming fait maintenant officiellement partie de l'interdiction pour les moins de 16 ans, aux côtés des suspects habituels.
Ce mouvement attire l'attention car il montre comment les régulateurs élargissent leur définition des "réseaux sociaux". Twitch n'est pas votre application de défilement typique : elle est construite autour du streaming en direct et des communautés de jeux. Mais les autorités la traitent de la même manière qu'elles traitent Instagram ou TikTok en ce qui concerne la protection des mineurs.
Qu'est-ce qui est intéressant ici ? Les plateformes avec des fonctionnalités d'interaction en direct sont désormais clairement dans le viseur. Si vous pouvez discuter, commenter ou créer un public, vous êtes potentiellement sur la liste. C'est un schéma qui mérite d'être surveillé alors que les gouvernements du monde entier cherchent comment gérer les espaces numériques où les jeunes utilisateurs se rassemblent.
Pour la communauté crypto et Web3, cela compte aussi. De nombreuses plateformes décentralisées intègrent des fonctionnalités sociales : gouvernance communautaire, salons de discussion réservés aux détenteurs de tokens, vitrines NFT avec sections de commentaires. Si la tendance réglementaire se poursuit dans cette voie, nous pourrions voir un examen similaire appliqué aux couches sociales Web3 à l'avenir.
La vraie question : où se trouve la limite entre la protection des enfants et l'ingérence excessive dans la conception des plateformes ?
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L'Australie vient d'élargir ses restrictions sur les réseaux sociaux pour les adolescents, et Twitch a été pris dans le filet. Le géant du streaming fait maintenant officiellement partie de l'interdiction pour les moins de 16 ans, aux côtés des suspects habituels.
Ce mouvement attire l'attention car il montre comment les régulateurs élargissent leur définition des "réseaux sociaux". Twitch n'est pas votre application de défilement typique : elle est construite autour du streaming en direct et des communautés de jeux. Mais les autorités la traitent de la même manière qu'elles traitent Instagram ou TikTok en ce qui concerne la protection des mineurs.
Qu'est-ce qui est intéressant ici ? Les plateformes avec des fonctionnalités d'interaction en direct sont désormais clairement dans le viseur. Si vous pouvez discuter, commenter ou créer un public, vous êtes potentiellement sur la liste. C'est un schéma qui mérite d'être surveillé alors que les gouvernements du monde entier cherchent comment gérer les espaces numériques où les jeunes utilisateurs se rassemblent.
Pour la communauté crypto et Web3, cela compte aussi. De nombreuses plateformes décentralisées intègrent des fonctionnalités sociales : gouvernance communautaire, salons de discussion réservés aux détenteurs de tokens, vitrines NFT avec sections de commentaires. Si la tendance réglementaire se poursuit dans cette voie, nous pourrions voir un examen similaire appliqué aux couches sociales Web3 à l'avenir.
La vraie question : où se trouve la limite entre la protection des enfants et l'ingérence excessive dans la conception des plateformes ?