C'est assez ironique - une foule de projets proclament "la confidentialité d'abord", mais se retournent pour vous demander de soumettre un scan de votre identification, de lier votre e-mail, et même de fouiller l'historique de votre portefeuille. Peu de gens comprennent vraiment, zkPass en fait partie.

Son approche est en fait assez directe : la validation ne devrait pas être contrôlée par d'autres, c'est à vous de décider. Le processus n'est pas compliqué : vous vous connectez d'abord à n'importe quel compte Web2 (Twitter, GitHub, un échange, peu importe lequel), puis vous exécutez une preuve à divulgation nulle de connaissance localement, et enfin, vous envoyez cette preuve à la partie qui doit la valider. Pendant tout ce processus, vos données originales ne sortent pas.

Le charme de cette chose qu'est le ZKP réside ici : je peux prouver que je suis moi, mais tu ne peux pas voir qui je suis réellement. Ça semble ésotérique, mais c'est en fait l'une des infrastructures les plus nécessaires à la diffusion de l'identification dans le Web3.