Katayama, à la tête du ministère des Finances du Japon, a récemment lancé un signal intéressant : des réductions d'impôts pourraient encore être envisagées comme un outil pour façonner la stratégie fiscale à l'avenir.
Cela compte plus qu'il n'y paraît au premier abord. Lorsque de grandes économies comme le Japon commencent à évoquer l'idée de réductions d'impôts, cela signale généralement des inquiétudes concernant l'élan économique ou un désir d'injecter des stimulus sans imprimer directement de l'argent. Pour ceux qui surveillent les actifs à risque, ce genre d'indices politiques peut rapidement modifier le sentiment.
Le Japon navigue dans une situation délicate : des décennies de déflation, une immense dette publique, et maintenant il observe les marchés mondiaux fluctuer sauvagement. La politique fiscale représente un levier qu'ils n'ont pas encore pleinement actionné, contrairement à leurs voisins qui ont été plus agressifs avec l'expansion budgétaire.
Ce qu'il convient de noter : les réductions d'impôts signifient généralement un revenu disponible accru circulant dans l'économie, qui trouve historiquement son chemin vers diverses classes d'actifs. Que cela se dirige vers les actions, l'immobilier ou des actifs alternatifs comme les monnaies numériques dépend de l'exécution et du timing.
Le commentaire du ministre garde des options ouvertes plutôt que de s'engager sur quoi que ce soit de concret. Un classique de l'hésitation politique, mais cela nous dit que la boîte à outils politique du Japon n'est pas épuisée. Les marchés ont tendance à anticiper ces possibilités avant qu'elles ne se matérialisent, donc rester à l'écoute des signaux fiscaux japonais pourrait s'avérer utile pour le positionnement.
Aucune action immédiate annoncée, juste un rappel que les gouvernements ont encore des coups à jouer lorsque les outils conventionnels commencent à perdre de leur efficacité.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
13 J'aime
Récompense
13
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
DefiSecurityGuard
· Il y a 3h
hmm... alerte au drapeau rouge - réductions d'impôts = plus de liquidités = des vecteurs d'exploitation massifs potentiels sur les marchés jp. DYOR mais ça a l'air suspect af
Voir l'originalRépondre0
ForkItAll
· Il y a 3h
Cette vague de bull au Japon.
Voir l'originalRépondre0
ParallelChainMaxi
· Il y a 3h
Au moins, c'est plus fiable que d'imprimer de l'argent.
Voir l'originalRépondre0
orphaned_block
· Il y a 3h
Cette astuce du Japon peut fonctionner.
Voir l'originalRépondre0
LiquidityWitch
· Il y a 3h
les arts obscurs de l'alchimie fiscale se sont réveillés... le rituel fiscal du Japon sur le point d'invoquer une nouvelle liquidité depuis le vide
Voir l'originalRépondre0
HashRateHermit
· Il y a 3h
Le Japon maîtrise également les compétences exceptionnelles
Voir l'originalRépondre0
TokenomicsDetective
· Il y a 3h
Le Japon n'a vraiment plus d'argent pour faire des folies.
Katayama, à la tête du ministère des Finances du Japon, a récemment lancé un signal intéressant : des réductions d'impôts pourraient encore être envisagées comme un outil pour façonner la stratégie fiscale à l'avenir.
Cela compte plus qu'il n'y paraît au premier abord. Lorsque de grandes économies comme le Japon commencent à évoquer l'idée de réductions d'impôts, cela signale généralement des inquiétudes concernant l'élan économique ou un désir d'injecter des stimulus sans imprimer directement de l'argent. Pour ceux qui surveillent les actifs à risque, ce genre d'indices politiques peut rapidement modifier le sentiment.
Le Japon navigue dans une situation délicate : des décennies de déflation, une immense dette publique, et maintenant il observe les marchés mondiaux fluctuer sauvagement. La politique fiscale représente un levier qu'ils n'ont pas encore pleinement actionné, contrairement à leurs voisins qui ont été plus agressifs avec l'expansion budgétaire.
Ce qu'il convient de noter : les réductions d'impôts signifient généralement un revenu disponible accru circulant dans l'économie, qui trouve historiquement son chemin vers diverses classes d'actifs. Que cela se dirige vers les actions, l'immobilier ou des actifs alternatifs comme les monnaies numériques dépend de l'exécution et du timing.
Le commentaire du ministre garde des options ouvertes plutôt que de s'engager sur quoi que ce soit de concret. Un classique de l'hésitation politique, mais cela nous dit que la boîte à outils politique du Japon n'est pas épuisée. Les marchés ont tendance à anticiper ces possibilités avant qu'elles ne se matérialisent, donc rester à l'écoute des signaux fiscaux japonais pourrait s'avérer utile pour le positionnement.
Aucune action immédiate annoncée, juste un rappel que les gouvernements ont encore des coups à jouer lorsque les outils conventionnels commencent à perdre de leur efficacité.