Alors que les grandes puissances se disputent l'influence mondiale, un domaine montre une division nette : l'action climatique. L'Est a doublé la mise sur les infrastructures renouvelables et la domination des technologies vertes, se positionnant comme la superpuissance de l'énergie propre. Pendant ce temps, l'administration actuelle de Washington s'est retirée des engagements climatiques, cédant du terrain dans ce qui pourrait être la course stratégique la plus importante du siècle. Pour les industries avares en énergie—pensez aux centres de données, aux opérations minières—cette division politique crée des paysages opérationnels très différents. D'un côté, on subventionne les fermes solaires et les batteries. De l'autre, on rouvre les débats sur le charbon. Devinez quelle approche attire la prochaine vague d'investissements dans les infrastructures durables ?