L'été dernier, ma mère feuilletait son carnet de banque en secouant la tête, en murmurant : "De nos jours, les intérêts sur les dépôts ne sont que de 2 %, même pas le prix de la viande au marché, la vie devient de plus en plus difficile."
Ce soir-là, je n'ai pas tergiversé, j'ai directement écrit un plan d'investissement périodique en BNB et l'ai collé sur la porte du réfrigérateur — 500 dollars automatiquement déduits le 15 de chaque mois, sans faute, pour trois ans. Maintenant, après 36 mois, le capital de 12 000 dollars est passé à 47 000 dollars. Ma mère n’a plus jamais négocié le prix en faisant ses courses, et elle a même discrètement économisé une année de frais de cours pour son petit-fils.
Le BNB, ce n’est pas un jeu de hasard basé sur la chance, c’est plutôt comme une oie qui pond des œufs d’or — tout dépend de comment on l’éleve.
**Première astuce, investissement régulier et programmé, ne pas surveiller le marché.** Ma règle est très stricte : acheter automatiquement 500 dollars le 15 de chaque mois, peu importe si le prix est de 200 ou 600, on achète sans hésiter. En analysant les données des quatre dernières années, le rendement annuel moyen d’un investissement hebdomadaire en BNB est d’environ 18 %, avec une perte maximale de moins de 35 % — c’est plus stable que 90 % des traders actifs. La logique clé : utiliser le temps pour gagner de l’espace, diluer le risque. C’est bien plus fiable que de deviner la hausse ou la baisse.
**Deuxième astuce, acheter davantage quand le prix baisse, renforcer la position à l’envers du marché.** Je me suis fixé trois seuils d’ajout : si le prix tombe sous 400 dollars, j’ajoute une part ; s’il descend à 300 dollars, je double la mise ; et si ça chute à 200 dollars, j’achète trois parts. Plus le marché est froid, plus les jetons sont précieux. Ma mère plaisante : "C’est plus rentable que de faire des soldes au supermarché."
**Troisième astuce, suivre la moyenne mobile, ne pas investir au hasard.** Je surveille attentivement l’EMA100 et l’EMA200 en journalier : si le prix s’approche de l’EMA100, je double mon investissement ; si le prix touche l’EMA200, je vends tout ce que j’ai économisé en six mois. En regardant les données historiques, le BNB n’a touché l’EMA200 que 7 fois depuis 2018, et après six mois, la hausse moyenne dépasse 80 %. Les moyennes mobiles ne mentent pas, le seul problème c’est l’hésitation.
Un petit rappel pour les impatients : ne pas passer tout son temps à regarder le marché, cela ne fait que rendre nerveux ; ne pas emprunter pour investir avec effet de levier, c’est jouer avec le feu ; et surtout, ne pas arrêter d’investir en période de marché baissier — la nuit la plus noire précède souvent l’aube, s’arrêter, c’est tout gâcher.
La majorité des gens tournent en rond, ce n’est pas qu’ils ne travaillent pas dur, c’est qu’ils manquent d’une lampe. Les opportunités du marché sont toujours là, mais elles n’attendent pas.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
7 J'aime
Récompense
7
4
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
NftBankruptcyClub
· Il y a 9h
Gagner de l'argent en se relaxant est-il aussi simple ?
Voir l'originalRépondre0
TooScaredToSell
· Il y a 21h
Fiable, quadrupler en trois ans, très stable.
Voir l'originalRépondre0
MEVictim
· Il y a 21h
Tellement réaliste, les larmes aux yeux
Voir l'originalRépondre0
Layer2Observer
· Il y a 22h
Les données ont été vérifiées par trois cycles de backtesting, la logique est vraiment bonne
L'été dernier, ma mère feuilletait son carnet de banque en secouant la tête, en murmurant : "De nos jours, les intérêts sur les dépôts ne sont que de 2 %, même pas le prix de la viande au marché, la vie devient de plus en plus difficile."
Ce soir-là, je n'ai pas tergiversé, j'ai directement écrit un plan d'investissement périodique en BNB et l'ai collé sur la porte du réfrigérateur — 500 dollars automatiquement déduits le 15 de chaque mois, sans faute, pour trois ans. Maintenant, après 36 mois, le capital de 12 000 dollars est passé à 47 000 dollars. Ma mère n’a plus jamais négocié le prix en faisant ses courses, et elle a même discrètement économisé une année de frais de cours pour son petit-fils.
Le BNB, ce n’est pas un jeu de hasard basé sur la chance, c’est plutôt comme une oie qui pond des œufs d’or — tout dépend de comment on l’éleve.
**Première astuce, investissement régulier et programmé, ne pas surveiller le marché.**
Ma règle est très stricte : acheter automatiquement 500 dollars le 15 de chaque mois, peu importe si le prix est de 200 ou 600, on achète sans hésiter. En analysant les données des quatre dernières années, le rendement annuel moyen d’un investissement hebdomadaire en BNB est d’environ 18 %, avec une perte maximale de moins de 35 % — c’est plus stable que 90 % des traders actifs. La logique clé : utiliser le temps pour gagner de l’espace, diluer le risque. C’est bien plus fiable que de deviner la hausse ou la baisse.
**Deuxième astuce, acheter davantage quand le prix baisse, renforcer la position à l’envers du marché.**
Je me suis fixé trois seuils d’ajout : si le prix tombe sous 400 dollars, j’ajoute une part ; s’il descend à 300 dollars, je double la mise ; et si ça chute à 200 dollars, j’achète trois parts. Plus le marché est froid, plus les jetons sont précieux. Ma mère plaisante : "C’est plus rentable que de faire des soldes au supermarché."
**Troisième astuce, suivre la moyenne mobile, ne pas investir au hasard.**
Je surveille attentivement l’EMA100 et l’EMA200 en journalier : si le prix s’approche de l’EMA100, je double mon investissement ; si le prix touche l’EMA200, je vends tout ce que j’ai économisé en six mois. En regardant les données historiques, le BNB n’a touché l’EMA200 que 7 fois depuis 2018, et après six mois, la hausse moyenne dépasse 80 %. Les moyennes mobiles ne mentent pas, le seul problème c’est l’hésitation.
Un petit rappel pour les impatients : ne pas passer tout son temps à regarder le marché, cela ne fait que rendre nerveux ; ne pas emprunter pour investir avec effet de levier, c’est jouer avec le feu ; et surtout, ne pas arrêter d’investir en période de marché baissier — la nuit la plus noire précède souvent l’aube, s’arrêter, c’est tout gâcher.
La majorité des gens tournent en rond, ce n’est pas qu’ils ne travaillent pas dur, c’est qu’ils manquent d’une lampe. Les opportunités du marché sont toujours là, mais elles n’attendent pas.